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Christine Rubio
--------------Allongé sur un lit
A l'ombre du mur gris
Ton visage détruit s'accroche à nos vies
Une profonde douleur nous accable
L'hiver aussi...Aucun son, aucun bruit
A l'ombre du mur gris
Ton regard meurtri se suspend à nos vies
Un profond silence nous accueille
Le printemps aussi...Pour souffler tes quelques bougies
De l'autre côté du mur gris
Tes mains amaigries se cramponnent à nos vies
Une profonde foi nous afflige
L'été aussi...Et la terre d'ocre t'a recueilli
A l'ombre du mur gris
Ton corps affaiblit a salué nos vies
Une profonde détresse nous accule
L'automne aussi...http://armanny.blogg.org